Le marché Daoheuang de Paksé : les encas sucrés

Le marché Daoheuang

Le sucré

Actualisé en février 2014

 

 

Il y a peu de desserts et de sucreries goûteuses dans les marchés et en encore moins dans les restaurants de Paksé. Quand on goûte à 16h, en fait, on mange-suçote-mâchouille le plus souvent quelque chose de bien amer, d’hyper salé, d’acide à en pleurer, de coriace à en perdre une dent, de pimenté à en renifler – d’ailleurs il est très mal élevé de se moucher dans un restaurant… il est presque préférable que cela vous coule sur le menton ! Bref, un encas laotiens n'est pas un encas sucré la plupart du temps.

 

Mais tout de même voici quelques douceurs…

 

 

 

 

 

 

Des gélatines à la noix de coco… différentes couleurs, goût identique.

 

 

 

 

 

Les vendeurs de glaces ambulants

 

 Ils ont soit une clochette soit un pouêt-pouêt pour signaler leur arrivée… glaces locales à la noix de coco et parfois au durian… pas mauvais du tout et très bon marché. Il y a aussi les vendeurs de glaces industrielles de grandes marques.

Attention le son du pouêt-pouêt ne signifie pas « glaces »… il peut s’agir d’autre chose.

 

 

 

 

 

Galettes de pâte de mangues séchées… prometteur mais bof, bof, bof… très bof.

 

 

 

 

 

Les bananes émincées séchées frites et sucrées… Sympa mais un peu sec.

 

 

 

 

 

 

Galettes de riz soufflé à la canne à sucre caramélisée… ça sonne bien mais c’est un peu bourre-chrétien, ou bourre-bouddhiste (ou animiste).

Le riz est cuit à la vapeur, puis malaxé en forme de galette, puis séché au soleil, et enfin, frit.

Ici la recette !

 

 

 

 

 

Beignets ronds aux graines de sésame… il y a comme une petite boule pâteuse à l’intérieur qui se balade. Bof…

 

 

 

 

 

 

Succulentes gaufres (à la noix de coco).

 

 

 

 

 

Gâteaux croquants.

 

 

 

 

 

Beignets mous à la « fraise » ou autres confitures. Proche du doonut tendre.

 

 

 

 

 

Papillons croustillants au miel (ça baigne dedans)… excellent.

Il y a l’échoppe du petit grand-père à un feu en soirée (en face le restaurant à touristes Daolinh).

 

 

 

Le petit grand-père aux gâteaux (les premiers à gauche sont salés), il fait aussi des « roti » indiens.

Les beignets papillons (plutôt à manger avec la soupe ou un café/chocolat/thé)

 

 

 

 

 

 

Riz gluant sucré dans un morceau de bambou

 

Pour la méthode, il faut du bambou vert coupé au dessus d’un nœud de manière à avoir un fond hermétique. Il est rempli d’eau et de riz (de sucre ou autres si vous le souhaitez) puis bouché avec des feuilles. La cuisson se fait directement en posant le bambou au dessus des flammes et en le tournant très régulièrement.

 

 

Riz gluant (souvent violet), noix de coco, sucre…

La méthode originale.

 

 

 

 

 

 

Tout ça m’a donné soif : une petite pause Jus de canne à sucre

 

 

Avec la machine ci-contre on écrase les « bambous » de canne à sucre… très sucré évidemment, mais super bon.

On écrase aussi à l’occasion quelques citrons verts… et on ajoute une demi-tonne de glaçons comme d’habitude.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les fritures à la banane… ou à la patate douce… why not.

 

 

 

 

 

 

Gâteaux de maïs… trouvés dans le quartier vietnamien…

très bons.

 

 

 

 

 

 

 

Gâteaux à la noix de coco : excellents.

 

Gâteaux muffins à la banane : excellents.

Ne pas en abuser, ils mettent beaucoup de levure.

 

 

 

 

 

 

Roti ou loti classique

Influence indienne oblige, les « roti » ou « loti » se trouvent aussi au coin des rues sur des chariotes à roulettes.

 

Moins chers que dans les restaurants indiens, mais parfois plus secs… en tout cas celui à l’œuf (5.000 kips) de la semaine dernière était excellent.

 

Toujours servis avec du lait concentré sucré et parfois un peu de « neuille » (margarine aromatisée à la coco).

Roti ou loti à l’œuf

 

 

 

 

 

 

Riz gluant à la banane dans sa feuille de bananier grillée.

 

 

 

Accueil

Sommaire

Suite de la visite du marché